Ce matin, la chaine d’informations continue du téléviseur de la cafétéria de l’hôtel faisait ses gros titres sur la canicule qui sévit en Europe occidentale.
Quand nous sommes partis de Colunga, nous avons eu l’impression qu’on avait branché un grand brumisateur. Il n’avait pas plu mais tout était trempé et on sentait nettement les gouttelettes d’eau.
Cette climatisation inespérée nous a permis de faire l’essentiel des montées avec une température quasi idéale.
Par contre, aujourd’hui encore, il était un peu compliqué de voir les montagnes.
Si le Camino del Norte nous a fait quitter la côte pour rejoindre Villaviciosa, c’est qu’il n’y a pas de pont sur l’estuaire (la ria du même nom) avant Villaviciosa.
Cette étape est donc une étape champêtre traversant beaucoup de vergers de pommiers qui ne traverse que des hameaux isolés.
Nous étions prévenus et le matin nous avions acheté des bocadillos que nous avons mangé dans une halte pour pèlerins, « El Peregrin Cansau » (le pèlerin fatigué).
L’endroit n’est « pas un vrai bar » mais met à notre disposition des tables, des chaises, une petite cuisine et un distributeur automatique de produits de première nécessité qui a permis de compléter notre repas par un cappuccino frais et une tablette de chocolat.
Villaviciosa se dit « capitale de la pomme » (à cidre s’entend) et la photo mise en avant sur cet article montre comment on doit verser le cidre.
Notre hôtel est situé dans un ancien palaccio au centre de la vieille ville, superbe et bien préservée.
Après la réalisation de la vidéo nous sommes sortis faire un tour de ville et avons diné dans une cafétéria où nous nous sommes une nouvelle fois fait piéger par les quantités servies.












































































































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