Hier j’ai eu très mal au pieds pendant toute l’étape et il devenait urgent d’aller consulter (je ne publie pas les photos de mes pieds, elles ressemblent à celles des paquets de cigarettes et je ne voudrais pas effrayer les enfants).
Nous avions l’habitude de ne réserver nos hébergements que 24 à 48 heures à l’avance mais en ce début de saison il devient plus difficile de trouver des hébergements et nous avons réservé une dizaine de jours à l’avance.
Nous avons donc maintenu l’étape d’aujourd’hui et nous l’avons faite… en train.
Sur la ligne qui longe la côte, la Renfe a maintenu les petites gares parfois en rase campagne et les trains régionaux s’y arrêtent à la demande : il faut faire signe au conducteur !
C’est bien pratique et nous avons pu le prendre dans une de ces petites gares, à quelques centaines de mètres de l’hôtel sans avoir à retourner au centre ville.
A San Cibrao nous sommes allés au centre de santé à côté de la gare.
Il n’a pas toujours été facile de se faire comprendre (j’avais préparé un document en espagnol sur mon téléphone que la doctoresse n’a pas voulu lire) mais je suis reparti avec un diagnostic (je fais une allergie sévère aux huiles essentielles diluées avec lesquelles nous avons essayé de traiter un début d’infection) et une ordonnance pour une crème à la cortisone.
Cet après midi je suis resté dans notre chambre (avec ue sur mer) pendant que Gisèle faisait le tour de la presqu’île.
Laisser un commentaire